2022 :
Benjamin Crinquand pour sa thèse intitulée « Accélération de particules dans la magnétosphère d’un trou noir de Kerr » (IPAG,Université Grenoble-Alpes)
2021 :
Lisa Bugnet pour sa thèse intitulée « Caractérisation globale des étoiles de type solaire et magnétisme interne le long de leur évolution. » (DAp/CEA, Université Paris Diderot)
2020 :
Doogesh Kodi Ramanah pour sa thèse intitulée « Bayesian statistical inference and deep learning for primordial cosmology and cosmic acceleration » (IAP, Sorbonne Université) ;
2019 :
Martin Turbet pour sa thèse intitulée « Habitabilité des planètes avec un modèle numérique du climat. Application aux
exoplanètes et à la planète Mars primitive » (Laboratoire de
Météorologie Dynamique, Université de la Sorbonne) ;
2018 :
Pierre Janin-Potiron pour sa thèse intitulée "Correction active des discontinuités pupillaires des télescopes à miroir segmenté pour l’imagerie haut contraste et la haute résolution angulaire" (Laboratoire Joseph-Louis Lagrange, Université de Nice, ED Sciences fondamentales et appliquées de Nice) ;
2017 :
Jean-Baptiste Fouvry pour sa thèse intitulée "Secular evolution of self-graviting systems over cosmic age" (IAP, Université Pierre et Marie Curie, ED Astronomie et Astrophysique d’Ile de France) ;
2016 :
Sandrine Codis pour sa thèse intitulée "De la cosmologie à la formation des galaxies : que nous apprennent les grandes structures de l’Univers ?" (IAP, Université Pierre et Marie Curie) ;
2015 :
Quentin Kral pour sa thèse intitulée "Etude des disques de débris avec un modèle numérique de nouvelle génération" (LESIA, Observatoire de Paris) ;
2014 :
Elsa Huby pour sa thèse intitulée "Binary system characterization with a fibered non-redundant masking interferometer for high dynamic range imaging" (LESIA, Observatoire de Paris) ;
2013 :
Antoine Strugarek pour sa thèse intitulée "Turbulence, transport et con-finement : des tokamaks au magnétisme des étoiles" effectuée au CEA (centres de Saclay et de Cadarache) ;
2012 :
Marie Godard pour sa thèse intitulée "Les carbones amorphes hydrogénés : observations, synthèse et caractérisation en laboratoire de poussières interstellaires" effectuée à l’Institut d’Astrophysique Spatiale (Orsay, Université Paris-Sud 11) ;
2011 :
Marie-Hélène Grondin pour sa thèse intitulée "Premières détections de nébuleuses avec le Fermi-Large Area Telescope et étude de leurs pulsars" effectuée au Centre d’Etudes Nucléaires de Bordeaux-Gradignan (Univ. Bordeaux I).